Et les rêves toujours s'évanouissent
Dans la même aube matinale
Et des jours entiers je me glisse
Entre deux songes les yeux mescals
La tête ailleurs, à corps perdu
L'intense désir de repartir
Sur mon étoile tu es venu
Juste le temps de ce sourire
Quand la lumière perce cruellement
Le doux murmure d'un peut-être
Nous revoilà péniblement
Sur la terre ferme et sans fenêtres
Des oiseaux planent dans le lointain
Et le soleil m'arrache le coeur
Tu ne viendras pas sur mon chemin
Car il fait jour, les rêves se meurent.
Page d’accueil | Autres pages