De son souffle discret
Qui vous glace le sang
Qui se glisse aisément
Dans les moindres recoins
Des esprit insouciants
Pour que joie et gaieté
Disparaissent à jamais,
À présent remplacés
Par tristesse et néants oubliés
De son désir charnel
De sobriété éternelle
La nuit, dans son Antre
Maudira en silence
Toutes âmes mortelles.
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