Zone de Texte: FRA51-05 
Zone de Texte: Si  ou si j’avais su...
Zone de Texte: “Si j’avais de l’inspiration pour écrire, j’écrirais sur les murs, les tables partout où je peux libérer mes sentiments pour écrire ce que je voudrais vraiment dire.”
Sonia

“Si j’avais beaucoup d’argent, je voyagerais partout à travers le monde... Je voudrais faire le tour de la planète...”
Jessica

“Si quelqu’un me demandait: “Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ?” Je lui répondrais sans hésiter que j’ai plein d’ambitions dans la vie. La première étant de finir mes études pour ensuite travailler comme infographiste. Ma deuxième priorité serait d’avoir une maison pour y fonder une famille avec tout ce qui est nécessaire sans oublier l’amour. Pour moi l’amour est une valeur inépuisable. J’aimerais avoir la santé jusqu’à la fin de ma vie. Enfin pouvoir communiquer librement mes sentiments à tous ceux qui m’entourent.”
Anne

“Si seulement les êtres humains n’étaient pas comme ils sont présentement. Tout le monde, y compris moi, se font tout le temps une idée d’une personne qu’on n’a jamais vu. Cette idée peut-être positive ou négative. Mais le problème est : pourquoi y a-t’il du monde qui se pensent  toujours meilleurs que les autres et ne disent que du négatif ?”
Vincent

Page d'accueil

Autres pages d’écriture

Zone de Texte: “Si je suis en vie présentement, c’est que je suis heureuse. Je ne crois pas avoir de problèmes majeurs. J’ai une vie normale; j’ai 16 ans; je vais à l’école; l’été, je travaille; la fin de semaine, je sors avec mon “chum” et mes amies. Même si je chiale, que je trouve quelquefois mes journées plates, j’ai en gros une vie potable et bien remplie.”
Annick

“Si la terre pouvait arrêter de tourner pour me permettre de souffler et enfin de me reposer !” 
Pierre-Luc

“Les filles, vous êtes-vous déjà posé cette question: pourquoi sommes-nous si dépendantes des garçons? Question sans réponse, n’est-ce pas ? Pensez-y un peu. Que ferions-nous sans gars ? Nous nous ennuierions atrocement. Ils ont beau être parfois “achalants”, mais au fond nous sommes très nombreuses à les apprécier. Imaginez un vendredi ou un samedi sans gars, une école sans gars, des bars sans gars, une ville sans gars. Ah mon Dieu! que ce serait “plate”!”
Geneviève

Page d’accueil     |     Autres pages